L'histoire des rajouts d'acier commence en 2003.
A cette époque, nous voyons arriver sur le marché de la collection une quantité très importante de montres anciennes et exceptionnelles, du très haut de gamme, et même du neuf de stock.
Cela nous intrigue : en tant qu'expert, nous savons que cela est quasi impossible, les ROLEX des années 1960/1970 neuves se comptant à peine sur des doigts d'une main.
Nous poussons donc plus loin notre analyse et nos recherches.
Le résultat est sans appel : les boîtiers de ces montres ROLEX ont été entièrement refaits avec de l'acier, ce sont les fameux rajouts d'acier.
A cette époque, le coût d'un rajout d'acier revenait à environ 2000/3000 Euros, somme en réalité dérisoire pour des pièces qui se vendaient entre 60 et 80 000 Euros, et qui par l'effet de l'acier en prenaient encore davantage.
Sauf que dans le monde des initiés et des collectionneurs, la supercherie est rapidement démasquée, et ces montres sont rapidement exclues du marché de la collection.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là, car ce scandale, que tout le monde ne connaît pas nécessairement, a donné des idées aux bidouilleurs, ce d'autant que le coût du rajout d'acier s'est banalisé ( entre 200 et 300 Euros ).
Résultat : on voit arriver sur le marché des choses ridicules, des boîtiers ROLEX avec des volumes plus importants que d'origine, du n'importe quoi : de la grossière chirurgie esthétique mal faite !
Mais parfois l'effet visuel créé par ces rajouts est bien fait, et peut en abuser plus d'un.
Sachez-le, les rajouts d'acier condamnent les montres ROLEX de collection.
Les initiés le savent et n'achètent pas ces ROLEX aux rajouts d'acier.
Chez OLIVINE, nous ne prenons aucun risque : pour éviter les bidouilles : notre politique est de ne prendre que des ROLEX polies le moins possible.
Une petite nuance cependant : les rajouts d'acier sur des petits chocs sont tolérés par les collectionneurs, cela est au contraire perçu comme le signe d'une ancienneté et d'une authenticité que les collectionneurs apprécient.
Le monde de la collection ne condamne que les boîtiers entièrement refaits.
A cette époque, nous voyons arriver sur le marché de la collection une quantité très importante de montres anciennes et exceptionnelles, du très haut de gamme, et même du neuf de stock.
Cela nous intrigue : en tant qu'expert, nous savons que cela est quasi impossible, les ROLEX des années 1960/1970 neuves se comptant à peine sur des doigts d'une main.
Nous poussons donc plus loin notre analyse et nos recherches.
Le résultat est sans appel : les boîtiers de ces montres ROLEX ont été entièrement refaits avec de l'acier, ce sont les fameux rajouts d'acier.
A cette époque, le coût d'un rajout d'acier revenait à environ 2000/3000 Euros, somme en réalité dérisoire pour des pièces qui se vendaient entre 60 et 80 000 Euros, et qui par l'effet de l'acier en prenaient encore davantage.
Sauf que dans le monde des initiés et des collectionneurs, la supercherie est rapidement démasquée, et ces montres sont rapidement exclues du marché de la collection.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là, car ce scandale, que tout le monde ne connaît pas nécessairement, a donné des idées aux bidouilleurs, ce d'autant que le coût du rajout d'acier s'est banalisé ( entre 200 et 300 Euros ).
Résultat : on voit arriver sur le marché des choses ridicules, des boîtiers ROLEX avec des volumes plus importants que d'origine, du n'importe quoi : de la grossière chirurgie esthétique mal faite !
Mais parfois l'effet visuel créé par ces rajouts est bien fait, et peut en abuser plus d'un.
Sachez-le, les rajouts d'acier condamnent les montres ROLEX de collection.
Les initiés le savent et n'achètent pas ces ROLEX aux rajouts d'acier.
Chez OLIVINE, nous ne prenons aucun risque : pour éviter les bidouilles : notre politique est de ne prendre que des ROLEX polies le moins possible.
Une petite nuance cependant : les rajouts d'acier sur des petits chocs sont tolérés par les collectionneurs, cela est au contraire perçu comme le signe d'une ancienneté et d'une authenticité que les collectionneurs apprécient.
Le monde de la collection ne condamne que les boîtiers entièrement refaits.